Et Bordeaux dans tout ça ?
À l'occasion de quelques sorties, et d'un week-end entre amies, j'ai profité de la ville et flâné à plusieurs reprises dans le centre. L'occasion de jouir des points de vue, des façades, de l'organisation urbaine des places et des rues, de la couleur de la pierre bordelaise.
Avant mon Tour, je croyais que Bordeaux était une ville où je pourrais vivre. Mais désormais, je n'avais plus la même lunette. J'avais connu des villes plus petites et très belles, comme Bourges, des lieux où l'accès à la nature ou aux paysages naturels était plus immédiat, comme la Bretagne. Et j'avais quitté Paris, notamment parce que je ne supportais plus l'agitation urbaine, la foule et le monde, dans les endroits stratégiques ou les transports.
Aussi, lorsque je suis retournée à Bordeaux, en cette toute fin août 2021, lançant la 4e année de mon Tour de France, j'ai été frappée par le monde (et le brouhaha) qu'il y avait dans les rues du centre. Les terrasses, les places, la rue Sainte-Catherine, les quais, tout était bondé. Certes, c'était un week-end de fin d'été.
Mais quand j'ai voulu commencer à visiter les alentours, j'ai presque été horrifiée de découvrir une rocade aux allures d'autoroute (trois voies, 110 km / heure !) complètement embouteillée passées 16h, ainsi qu'aux entrées et aux sorties de week-end. Le périphérique parisien m'a vraiment paru gentillet à côté !
À l'œil, Bordeaux est vraiment d'une très belle harmonie, et j'adore vraiment cette ville. Mais l'accès à la campagne, et a fortiori à l'Océan, n'était pas assez direct ni fluide pour moi. À la fin, j'en venais à ne plus vouloir bouger tellement la sortie de l'agglomération s'annonçait compliquée.
Conclusion de cette immersion ? Non, je ne pourrai pas habiter à Bordeaux !
En photo, des points de vue que j'ai particulièrement aimé voir et revoir, et en gros plan un superbe panorama sur la ville, celui pris depuis les fenêtres du Airbnb réservé par mon amie venue me rendre visite.
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