5e destination.
Je ne connaissais rien des Sables d'Olonne, que le nom et le renom.
Le mythique Vendée Globe (que je n'avais jamais suivi, et que j'imaginais écrit Vents des Globes), et un nom porteur d'air marin. Comme pour Saint-Tropez, comme pour Aix les-Bains, Bourges ou Besançon, j'y suis allée vierge de toutes images. À mon arrivée le 12 septembre 2019, on était encore à la belle saison, et j'imaginais que vivre si près de la mer, ça allait être forcément chouette. Car, je le rappelle pour tous ceux pour qui c'est naturel, quand on a vécu en région parisienne, se retrouver à vivre à 10 mn de l'océan est une chose incroyable !
Je trouve le petit cœur de ville, si près du "remblai" (cet aménagement côtier qui longe la grande plage du centre), mignon, et je m'extasie devant la halle, si belle et si typique des halles Baltard que j'avais étudiées en 2014 pour la préparation de l'exposition "Victor Baltard" au musée d'Orsay. Je repère les plages un peu plus "sauvages", celle de la Paracou, au nord, longée par les dunes et, encore plus au nord, le long de la forêt d'Olonne, la plage de Sauveterre. Jusque fin septembre, les journées sont lumineuses, et j'assiste à la fin du mois à un grand spectacle : le week-end des Grandes Marées, qui permet de voir des vagues géantes recouvrir toute la plage !
En photo : la plage du remblai (avec cet avertissement à destinations des touristes associant le Tartuffe de Molière que j'avais trouvé très amusant !), la halle du centre-ville (avec l'église en reflet), les dunes de la Paracou, et la plage de Sauveterre pendant les Grandes-Marées, avec une lumière de fin de journée...
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